L'Etat et la Terre d'Israël (2)
Comment
le peuple palestinien fut inventé
Le
concept de « peuple palestinien » est un des plus gros
mensonge de l'histoire. Voici la vérité historique
qui est facilement consultable en ouvrant des livres.
Il y a toujours eu une petite
présence Juive en Israël depuis la destruction du Second
Temple il y a 2000 ans. Cette Terre, durant ce temps, a été
sous la domination de plusieurs empires, cependant aucun peuple ne
s'est jamais installé dessus et aucun État n'a vu le jour.
Quand les
premières vagues Juives ont commencé à revenir sur leur Terre
vers la fin du XIX siècle, des Arabes ont également été envoyés
sur place dans le même temps pour « contrer »
l'immigration Juive, venant de Syrie, d’Égypte ou encore d'Irak.
De plus, les descendants d'Avraham
réhabilitant la zone ont attiré ces gens qui en profitaient pour
eux-mêmes, car ils n'étaient pas capables de défricher Israël,
qui à l'époque était constitué de déserts et marécages.
Avec le temps, ces Arabes se sont multipliés comme les Juifs, et ont
commencé à former une grosse communauté, qui sera appelé plus
tard le « peuple palestinien ».
Voici quelques témoignages
concernant la solitude qui régnait sur le Proche-orient avant la
recréation d'Israël en 1948 (ces témoignages peuvent être
trouvés dans différentes sources sur internet) :
- "- Ibn Khaldun, un des historiens arabes les plus crédibles, a écrit en 1377 : « La souveraineté juive sur cette terre s’est prolongée sur 1 400 ans… C’est les Juifs qui ont implanté la culture et les coutumes en s’y étant installé de manière permanente ». Après 519 ans (non consécutifs) de domination musulmane sur la Terre d’Israël, Ibn Khaldun a certifié que la culture et les traditions juives étaient encore dominantes.
- Edouard Webbe en 1590 : « Il n’y a rien à Jérusalem mis à part des vieux murs ».
- Henry Maundrell en 1697 : Nazareth, « un village minuscule et sans importance », Jéricho, « une bourgade minable et sale », Acre, « une désolation ».
- L’archéologue britannique Thomas Shaw en 1738 : la Terre Sainte « VIDE, désolée et manquant de tout, qui manque d’habitants ».
- Le comte François Volney en 1785 : « Nous avons du mal à reconnaître Jérusalem, on y compte environ 12 000 habitants. Le pays est désolé et ruiné. »
- Commentaires par des Chrétiens dans les années 1800 : « Les Arabes ne peuvent pas être considérés comme autre chose que des résidents temporaires. Ils ont placés leurs tentes dans un pays ruiné. Ils n’ont rien créé en Terre Sainte.
Puisqu’ils sont des étrangers sur cette terre, ils ne sont jamais devenus ses maîtres. »
- Alphonse de Lamartine en 1832 : Mis à part à Jérusalem, il ne rencontra pas âme qui vive et que la Terre d’Israël était « le tombeau de tout un peuple [les Hébreux] ».
- William Thackeray en 1844 : « La région est abandonnée. Nous n’avons vu aucun animal se déplacer parmi les pierres. »
- Alexandre Keith en 1844 : « La Terre Sainte est arrivée à l’état de désolation total décrit par les prophètes. »
- Le consul britannique en Terre d’Israël, James Pinn en 1857 : « Le pays est presque inhabité, il a grand besoin d’habitants. »
- Le cartographe britannique Arthur Penrhyn Stanley en 1862 : « Ni signes de vie ni habitations en Judée, sur des distances entières. »
- Mark Twain en 1867 : « Pas un seul village dans la Vallée de Jezréel, rien sur 30 miles dans les 2 sens. 2 ou 3 petits groupes de tentes bédouines, mais pas une seule habitation permanente. On peut voyager pendant 10 miles sans rencontrer 10 êtres humains. Déserts sans âme qui vive, collines VIDES, ruine mélancolique de Capharnaüm, stupide village de Tibériade, enterré sous six palmiers. Nous arrivâmes à Tabor sans rencontrer âme qui vive tout au long du chemin. Nazareth est désolée, Jéricho est en ruine, Bethléem et Béthanie, dans leur pauvreté et leur humiliation, ces endroits n’abritent pas une créature vivante. Un pays désolé, dont la terre serait peut-être assez riche si elle n’était abandonnée aux mauvaises herbes. Une étendue silencieuse, triste. À peine y a-t-il un arbre ou un arbuste, çà et là. Même les oliviers et les cactus, ces fidèles amis d’un sol sans valeur, ont quasiment déserté le pays. »
- Le consul américain à Jérusalem en 1880 rapporte que la région continuait son déclin : « La population et la richesse de la “Palestine” n’a pas augmenté pendant les 40 dernières années. »
- B. W. Johnson en 1892 : « Dans la partie de la plaine entre le mont Carmel et Jaffa on voit à peine quelques villages ou autres formes de vie humaine. Caesarea est maintenant entièrement abandonné. La désolation est partout autour de nous. »
- Compte-rendu de la commission royale Britannique de 1913 : « La région est sous-peuplée et est restée économiquement stagnante jusqu’à l’arrivée des premiers pionniers sionistes dans vers la fin des années 1880, qui sont venus pour reconstruire la terre juive. La route qui va de Gaza vers le nord n’est qu’une piste estivale tout juste bonne pour les chameaux et les charrettes. On ne voit ni bosquet d’orangers, ni verger, ni vigne, jusqu’à ce que l’on arrive en vue du village de Yavné. Les maisons sont des torchis. Il n’existe pas d’écoles. La partie orientale en direction de la mer est quasiment désertique. Les villages, dans cette région, sont rares et chichement peuplés. Beaucoup de villages sont désertés par leurs habitants. »
- Dawood Barakat, éditeur du journal égyptien Al-Ahram en 1914 : « Les Sionistes sont nécessaires pour le pays : l’argent qu’ils apporteront, leur connaissances, leur intelligence et l’industrialisation qui les caractérise contribueront sans aucun doute à la régénération du pays. »
- Hussein Al-Qibla, gardien des lieux saints en Arabie Saoudite en 1918 : « Les ressources du pays et le sol vierge seront développés par les immigrés juifs. [...] Nous avons vu les Juifs des pays étrangers venir en “Palestine” de Russie, d’Allemagne, d’Autriche, d’Espagne, d’Amérique. [...] Ils ont su que le pays était pour ses fils d’origine, [...] une patrie sacrée et aimée. Le retour de ces exilés à leur patrie s’avérera matériellement et religieusement [être] une expérimentation pour leurs frères [autres Juifs]. »
- Lewis French, le directeur britannique du développement de la « Palestine » en 1931 : « Nous l’avons trouvée [la "Palestine"] habitée par des Fellahs [agriculteurs arabes] qui vivent dans des taudis de boue et souffrent sévèrement de la malaria très répandue. De grands secteurs étaient non cultivés. [...] Il n’y avait presque aucune sécurité publique, Les fellahs sont sans cesse soumis au pillage de leurs voisins nomades, les bédouins. » "
Le monde
entier connaît cette mascarade mais feint de l'ignorer, car Arafat
lui-même a déclaré à la sortie d'une réunion de l'O.N.U, devant
les caméras : « Je viens de créer un peuple et
un pays qui jusque là n'existaient pas ! » (le 13
novembre 1974 à New York). Une des rares fois où il ne ment pas.
Quand
au terme « palestinien », il faut savoir que ce mot
provient de l'Empereur Hadrien qui, en l'an 135, pour humilier le
peuple Juif battu, fit renommer la Terre de Judée « Palaestina »
et Yéroushalayim/Jérusalem en « Aelia Capitolina ».
A
ce sujet, Il
est plus que déplorable
que les Bibles de « traduction chrétienne » contiennent,
par exemple, le mot « Palestine » sur leur carte du
Proche-orient. Si
les théologiens connaissaient mieux l'histoire et, paradoxalement,
la Bible, ils ne sortiraient pas de telles sottises.
La
solution au problème est très simple mais le monde entier s'y
oppose. Cependant, quand le
Roi Messie
va revenir très prochainement, bé'ezrat
HaShem,
celle-ci sera appliquée : ces
gens, dits « palestiniens », seront reconduits vers leurs
pays d'origines,
ceux cités plus haut. Plus encore, la réalité Divine se dévoilant
dans le monde lors de la Délivrance
Finale,
la vérité sera tellement claire pour tous que ces choses se feront
naturellement. Car
comme cela a été vu dans la première partie, chaque âme humaine
est reliée à une Terre où elle peut s'exprimer selon tout son
potentiel. Ainsi, quand ces gens verront qu'habiter à cet endroit
leur cause, en réalité, beaucoup plus de dommages spirituels que de
bienfaits, ils repartiront d'eux-mêmes vers leurs matrices sources
et rendront à Israël ce qui est à lui,
soit la bande de Gaza, toute la Judée-Samarie, Jérusalem-Est, et
tout leur territoire tel que décrit dans la Torah,
du torrent de Mitsraïm/L’Égypte
à l'Euphrate.
Quand
à tout ceux qui veulent partager Israël entre le peuple Juif et un
pseudo-peuple, voici un avertissement :
« Je
rassemblerai toutes les Nations, et Je les ferai descendre dans la
Vallée de Yéhoshafat. Là, J'entrerai en jugement avec elles, au
sujet de Mon peuple d'Israël, Mon héritage, qu'elles ont dispersé
parmi les Nations, et au sujet de Mon pays, qu'elles se sont
partagé »
(Yoël/Joël
3:2).
Voici
également une preuve de l'inspiration divine des Écritures :
comment un simple Juif qui a vécu il y a plus de 2500 ans,
pouvait-il prévoir que dans les temps futurs :
Israël
existerait toujours (qui peut prévoir l'avenir de la France dans
2500 ans?) ?
Israël
serait dispersé parmi les Nations puis reviendrait sur sa Terre ?
Son
pays serait partagé par les Nations ?
Les temps de la Rédemption sont
proches. Ce qui vient, ce n'est pas du tout une « fin du
monde » à la Hollywood, mais la réparation finale du monde,
le renouvellement de toutes choses, la fin de la mort et des
malheurs.
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