Shabbat shalom à tous,
Cette parasha ("section de la Torah") traite du problème "Sex & Drugs & Rock & Roll" avant l'heure ! En effet, Vayiqra/Lévitique
18-19-20 traitent des relations sexuelles interdites, de l'amour du
prochain, des diverses abominations pratiquées à l'époque, puis des
sciences occultes. Ian Dury en aurait des choses à apprendre !
Petite remarque en passant : Yéshou'a dira dans les évangiles que pas une lettre de la Torah ne passera jusqu'à la fin, chaque mitsvah/commandement
demeure. On peut se poser la question suivante : et qu'en est-il des
commandements qui paraissent risibles à notre époque, du genre : "Vous ne couperez pas en rond votre chevelure, et vous ne raserez pas les coins de votre barbe" (Vayiqra/Lévitique 19:27) ?
Vous
savez, les modes ça va et ça vient. Une des dernières à nouveau en
vogue consiste à se raser (ou couper court) le tour du crâne et à
laisser pousser les cheveux du dessus. Bref, la transgression de ce
commandement en particulier ! Or, savez-vous qu'à l'époque biblique, les
prêtres idolâtres arboraient cette coupe de cheveux ?
Et
alors pourrait-on répliquer ! Aujourd'hui personne ne se prosterne
devant une pierre ou un bout de bois, il s'agit des goûts et des
couleurs de chacun !
Certes !
Cependant, savez-vous pourquoi, selon Yéshou'a, le commandement de la Torah demeure
quand même ? Car les influences spirituelles, elles, sont toujours
présentes ! Effectivement, tu ne te prosternes pas devant un caillou.
Mais l'énergie spirituelle négative qui se dégage d'un tel acte (en
l’occurrence ici la forme de la coupe) est toujours présente.
C'est comme l’histoire du tatouage : "Vous n'imprimerez pas de figures sur vous" (Vayiqra/Lévitique
19:28). L'origine du tatouage est l'appartenance de l'individu à son
dieu, je grave sur ma chair mon idole, je suis à elle. Là encore, de nos
jours, ceux qui se font des tatouages le font dans un but purement
esthétique, nous voyons des têtes de morts, des "satân", des
pentagrammes, et même des "jésus" avec leur couronne d’épines ! Les plus
sensibles se contenteront d'un "je t'aime maman" sur leur bras.
Mais
là encore, l'influence spirituelle reste. Regardez sur internet les
témoignages de gens tatoués qui se sont convertis par la suite : tous décrivent, en venant à HaShem, un sentiment d’oppression et d'esclavage lié à leurs tatouages....ce n'est pas moi qui le dit !
Marchons donc sur le chemin de la qédousha, la sanctification, en réalisant que cette vieille "loi" de Moïse, reprise et attestée par le Roi Messie, recèle bien des remèdes pour nos maux actuels !
Kol Touv !
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