יֵשׁוּעַ הַמָּשִׁיחַ בֶּן־דּוִד

הַמֶּלֶךְ



נָבִיא אָקִים לָהֶם מִקֶּרֶב אֲחֵיהֶם כָּמוֹךָ וְנָתַתִּי דְבָרַי בְּפִיו וְדִבֶּר אֲלֵיהֶם אֵת כָּל־אֲשֶׁר אֲצַוֶּנּוּ


לעלוי נשמת

Karen Yemima bat Rosa Cecilia

Yael Yekutiel

Erez Orbach

Shir Hajaj

Shira Tzur

רפואה שלמה

Lizzie bat Sarah



jeudi 4 mai 2017

Parashat Aharei Mot - Qédoshim - אחרי מות קדושים


 
Shabbat shalom à tous,

Cette parasha ("section de la Torah") traite du problème "Sex & Drugs & Rock & Roll" avant l'heure ! En effet, Vayiqra/Lévitique 18-19-20 traitent des relations sexuelles interdites, de l'amour du prochain, des diverses abominations pratiquées à l'époque, puis des sciences occultes. Ian Dury en aurait des choses à apprendre !
 
Petite remarque en passant : Yéshou'a dira dans les évangiles que pas une lettre de la Torah ne passera jusqu'à la fin, chaque mitsvah/commandement demeure. On peut se poser la question suivante : et qu'en est-il des commandements qui paraissent risibles à notre époque, du genre : "Vous ne couperez pas en rond votre chevelure, et vous ne raserez pas les coins de votre barbe" (Vayiqra/Lévitique 19:27) ?

Vous savez, les modes ça va et ça vient. Une des dernières à nouveau en vogue consiste à se raser (ou couper court) le tour du crâne et à laisser pousser les cheveux du dessus. Bref, la transgression de ce commandement en particulier ! Or, savez-vous qu'à l'époque biblique, les prêtres idolâtres arboraient cette coupe de cheveux ?

Et alors pourrait-on répliquer ! Aujourd'hui personne ne se prosterne devant une pierre ou un bout de bois, il s'agit des goûts et des couleurs de chacun !
Certes !

Cependant, savez-vous pourquoi, selon Yéshou'a, le commandement de la Torah demeure quand même ? Car les influences spirituelles, elles, sont toujours présentes ! Effectivement, tu ne te prosternes pas devant un caillou. Mais l'énergie spirituelle négative qui se dégage d'un tel acte (en l’occurrence ici la forme de la coupe) est toujours présente.

C'est comme l’histoire du tatouage : "Vous n'imprimerez pas de figures sur vous" (Vayiqra/Lévitique 19:28). L'origine du tatouage est l'appartenance de l'individu à son dieu, je grave sur ma chair mon idole, je suis à elle. Là encore, de nos jours, ceux qui se font des tatouages le font dans un but purement esthétique, nous voyons des têtes de morts, des "satân", des pentagrammes, et même des "jésus" avec leur couronne d’épines ! Les plus sensibles se contenteront d'un "je t'aime maman" sur leur bras.

Mais là encore, l'influence spirituelle reste. Regardez sur internet les témoignages de gens tatoués qui se sont convertis par la suite : tous décrivent, en venant  à HaShem, un sentiment d’oppression et d'esclavage lié à leurs tatouages....ce n'est pas moi qui le dit !

Marchons donc sur le chemin de la qédousha, la sanctification, en réalisant que cette vieille "loi" de Moïse, reprise et attestée par le Roi Messie, recèle bien des remèdes pour nos maux actuels !

Kol Touv !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.