La mezouzah
מזוזה
La Torah ordonne au Juif de fixer Ses Paroles sur
les montants de portes de sa maison, comme il est écrit :
« Tu les écriras sur les poteaux
de ta maison et de tes portes » (Devarim/Deutéronome
6:9).
Accomplir ce commandement équivaut à se rajouter une partie de
notre armure afin d'être protégé des attaques extérieures
diverses. Un Gentil (non-Juif) peut également accomplir cette
mitsva, mais ce n'est pas obligatoire pour lui, contrairement
aux Juifs.
Mais lisons plutôt, et regardons le reportage suivant, qui valent
plus que beaucoup de mots.
« Un jeune se rendit auprès des Hassidim pour son
père. En effet, le père était à l'hôpital pour une crise
cardiaque qui lui avait provoqué une paralysie de tout le coté
gauche du corps.
La réponse du Rabbi fut : « Faire contrôler les
téfilines et les mézouzot ». Les trois paires de Téfilines
appartenant au malade furent vérifiées et on trouva des erreurs
dans le Texte en correspondance des mots « sur ton cœur »
et « tu les attacheras en signe sur ton bras ». Il
s'agissait du cœur et de la main gauche sur lesquels sont attachés
les Téfilines...qui correspondaient exactement aux zones du corps
concernées par la paralysie. En acquérant de nouveaux Téfilines,
le père du jeune homme réussit à guérir, physiquement et
spirituellement ».
« En 1977, après plusieurs diagnostics médicaux, on
conseilla à un homme qui souffrait énormément du pied gauche de se
soumettre à une opération chirurgicale très délicate qui
consistait à remplacer l'artère obstruée par une prothèse en
plastique. Après avoir demandé conseil au Rabbi, l'homme fit
contrôler ses Téfilines et Mézouzot et l'on trouva sur les
parchemins un trou au milieu du Kaf final (lettre hébraïque) du mot
« quand tu marches ». Après avoir fait réparer le
parchemin, l'homme guérit ».
« Une autre histoire intéressant concerne le cas d'une
grossesse durant laquelle le fœtus se présentait par le siège. En
contrôlant les mézouzot, on découvrit qu'une d'entre elles avait
été attachée par erreur en position renversée. Dès que la
position de la mézouzah fut rétablie, le fœtus se mit lui aussi
dans la position correcte ».
« Alors qu'elle était encore toute petite, la fille de
Rav Moché Stern de Toronto s'enfonça un coton tige dans l'oreille.
Le triste accident lui causa une surdité immédiate. Après avoir
écouté les avis de plusieurs médecins qui n'avaient laissé aucun
espoir à ce cas désespéré, Rac Stern se mit en contact avec le
Rabbi de Loubavitch, qui lui conseilla de faire contrôler la
mézouzah de la chambre de la petite fille. Avec un grand étonnement,
on trouva un défaut dans le mot « Chéma, Ecoute ».
Après avoir corrigé le parchemin, la petite fille retrouva le sens
de l'ouïe ».
« L'épisode des vingt écoliers de Ma'alot tués par des
terroristes palestiniens au cours de l'été 1974 est bien connu.
D'après les conseils du Rabbi de Loubavitch, on ordonna après le
massacre de contrôler les mézouzot de l'école. Vingt mézouzot
invalides furent trouvées, correspondant au nombre d'enfants tués.
Dans ces circonstances, le Rabbi précisa que ce fait ne pouvait en
être la cause, en expliquant pourtant de quelle manière les deux
phénomènes étaient liés. Il compara la mézouzah au « casque
de métal porté par les soldats. Si l'ennemi tire et qu'un soldat
qui ne porte pas de casque est touché, sa blessure est dur, de toute
évidence, aux tirs de l'ennemi. En dépit de cela, s'il avait porté
un casque, il aurait été sauvé... » ».
L' aura dans le judaisme par bakstyle
Sources : Torah
ADN Juif, Génétique et Kabbale
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