יֵשׁוּעַ הַמָּשִׁיחַ בֶּן־דּוִד

הַמֶּלֶךְ



נָבִיא אָקִים לָהֶם מִקֶּרֶב אֲחֵיהֶם כָּמוֹךָ וְנָתַתִּי דְבָרַי בְּפִיו וְדִבֶּר אֲלֵיהֶם אֵת כָּל־אֲשֶׁר אֲצַוֶּנּוּ


לעלוי נשמת

Karen Yemima bat Rosa Cecilia

Yael Yekutiel

Erez Orbach

Shir Hajaj

Shira Tzur

רפואה שלמה

Lizzie bat Sarah



jeudi 29 mars 2018

La "sainte cène" ou le repas de Péssah ?

 
"La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas la communion au sang du Messie ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas la communion au corps du Messie ? Puisqu'il y a un seul pain, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps; car nous participons tous à un même pain" (1 Corinthiens 10:16-17)

Rabbi Shaoul fait ici référence au soir du séder de Péssah (et non à la "sainte cène", hass véshalom).
Pour preuve :

1) Il est parlé de la "coupe de bénédiction que nous bénissons". David Stern, dans son commentaire sur la Brit Hadasha, dit sur ce verset : "la troisième coupe du seder de Péssah est appelée la coupe de bénédiction". De plus, il est dit "que nous bénissons". Or, le soir du séder, sur les 4 coupes, nous ne faisons la bénédiction que sur la première et la troisième. Cependant, sur la troisième nous récitons en plus le Birkat Hamazôn, qui est la seule bénédiction demandée par la Torah écrite. Il s'agit donc d'une coupe de bénédiction véritablement !

Donc ici Rabbi Shaoul fait référence à la troisième coupe bue lors du séder de Péssah.
2) "Le pain que nous rompons" : juste avant le Birkat Hamazôn, lors du moment appelé Tsafoûne, nous prenons l'afikoman, que nous rompons et nous le partageons entre les membres de la maison, en donnant à chacun un kazayit (30g). "Tsafoune" fait allusion au Messie (voir l'étude sur Péssah envoyée précédemment).

Durant le séder, il y a d'abord le Tsafoune/pain rompu, puis la troisième coupe avec le Birkat Hamazôn. Or, Yéshou'a (voir Mathieu 26) a pris le pain puis ensuite la coupe. Il faisait donc ce moment du séder.

Et, pour finir, la dernière preuve qu'il s'agit bien du séder de Péssah et non de la "cène", (NOTE : qui est un dérivé de l'eucharistie romain. Pour preuve, le protestantisme prend racine dans la vie de Luther, ancien catholique, qui introduira la "sainte cène" comme étant une consubstantiation. A l'inverse de la Transsubstantiation catholique, où soit-disant le pain et le vin sont véritablement transformés en corps et sang du Messie, ici Luther enseigne que les deux natures, soit le vin/sang et le corps/pain coexistent ensemble !! Toutes les communautés protestantes qui font donc une "sainte cène" n'obéissent donc pas au Messie qui enseigne le repas de Pessah, une fois par an, mais à Luther, soit une personne antisémite (voir sa biographie, en particulier la fin de sa vie. ) qui a simplement changé "un peu" le "repas catholique" (!).

Bien entendu, HaShem est miséricordieux et prend en compte les temps de non-connaissance dans l'histoire jusqu'à aujourd'hui. Cependant, une fois une vérité rétablie, tant au niveau historique qu'au niveau théologique, la pratique doit être changée. Il est donc question ici de plaire à HaShem et non aux hommes et à leurs traditions. Quant aux passages dans l'Alliance Renouvelée où i lest parlé de la "fraction du pain" entre les croyants, il s'agit tout simplement de "casser la croûte" ensemble, de partager nos mets, et cela ne fait pas référence à une "sainte cène".).REPRISE : au chapitre 11 il continue de parler de Péssah et du séder, tandis qu’au chapitre 5, il parle également de cette fête et du hamets, du levain.

Cette lettre a donc été envoyée durant la période de cette fête (pâque en français), pour préparer les talmidim, les disciples de Corinthe au séder de Péssah, et à réaliser que l'afikoman mangé durant le Tsafoune et la coupe bue après le Birkat Hamazon doivent, en plus de la signification de la sortie d’Égypte, être un rappel pour l'alliance renouvelée en Yéshou'a, rien de plus.
Lien pour la fête : http://www.torah-box.com/…/15-liens-essentiels-avant-pessah…

Et quelques jolies déclarations de Luther au passage, pour mieux nous "booster" à sortir de nos Égypte : "Je m'étais résolu à ne plus écrire sur les Juifs ni contre eux. Mais comme j'ai appris que ces gens misérables et maudits n'arrêtent pas de nous leurrer, nous les chrétiens, j'ai publié ce petit livre, de façon que je puisse me trouver parmi ceux qui s'opposent à leurs activités empoisonnées et pour mettre les chrétiens en garde contre eux", " ils sont un « peuple de débauche, c'est-à-dire pas des gens de Dieu, et que leurs fanfaronnades sur leur lignage, la circoncision et leurs lois doivent être considérées comme une cochonnerie ». « Ils sont remplis d'excréments du diable… dans lesquels ils se vautrent comme des pourceaux. » Quant à la synagogue, c'est une « putain incorrigible et une souillure du diable... ». On ne doit montrer à leur égard aucune pitié ni aucune bonté, ne leur procurer aucune protection légale, et ces « vers venimeux et vénéneux » doivent être punis de travaux forcés ou expulsés une fois pour toutes. Il semble aussi recommander leur meurtre et écrit : « Nous sommes fautifs de ne pas les tuer » (made in Luther, fondateur du christianisme protestantisme)

Oui, il est temps pour nous de sortir de cette misérable Égypte qui nous tient captif depuis 2000 ans, nous Juifs et vous, greffés authentiques sur Israël en Yéshou'a. Il est temps de montrer à Luther et à ses petites copines que cette, je cite, "putain incorrigible et souillure du diable" que nous sommes, a, elle survécu à tous les empires de l'histoire, à tous les Nimrod et Hitler, et qu'elle est sur le point de devenir La Lumière des Nations, et Juger les Nations. Il est temps, en ce Péssah, de quitter toutes ces prostituées spirituelles pour revenir (enfin !) sur le seul et vrai olivier franc, l'épouse authentique du Mélèkh Ha'Mashiah, le Roi Messie !

Hag Péssah Saméah !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.