Péssah (« Pâque »)
est une fête commémorant la délivrance du peuple d'Israël :
HaShem nous sort de l'esclavage pour nous libérer à jamais !
Cependant, quelque chose pourrait « clocher » dans ce qui
vient d'être dit : en effet, peu de temps après leur sortie,
le Maître du Monde leur donna la Torah sur le mont
Sinaï. Or, selon un certain nombre de personnes, la Torah
est un esclavage, quelque chose de lourd à porter, mais Jésus vient
pour nous libérer de cela. Ainsi, nous avons juste à « croire
en Jésus » et la Torah...bien elle n'est plus
d'actualité.
Mais est-ce vraiment cela la vérité ?
Rabbi Shaoul (Paul) nous
enseigne ainsi :
« Il
nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une Alliance
Renouvelée, non par la lettre, mais par le souffle ; car la lettre
tue, mais le souffle vivifie.
Or, si le service de la mort, gravé en lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moshé, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, combien le service du souffle ne sera-t-il pas plus glorieux ! Si le service de la condamnation a été glorieux, le service de la justice est de beaucoup supérieur en gloire. Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l'a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux.
Ayant donc cette espérance, nous usons d'une grande liberté, et nous ne faisons pas comme Moshé, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d'Israël ne fixassent pas les regards sur la fin de ce qui était passager. Mais ils sont devenus durs d'entendement. Car jusqu'à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture du Pacte antique, et il ne se lève pas, parce que c'est dans le Messie qu'il disparaît. Jusqu'à ce jour, quand on lit Moshé, un voile gît sur leurs cœurs; mais lorsque les cœurs font téshouvah à l'Adôn, le voile est ôté. Or, l'Adôn c'est le souffle; et là où est le souffle d' l'Adôn, là est la liberté. Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire de l'Adôn, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par l'Adôn, le souffle » (Deuxième Lettre envoyée aux Corinthiens 3:6-18)
Or, si le service de la mort, gravé en lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moshé, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, combien le service du souffle ne sera-t-il pas plus glorieux ! Si le service de la condamnation a été glorieux, le service de la justice est de beaucoup supérieur en gloire. Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l'a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux.
Ayant donc cette espérance, nous usons d'une grande liberté, et nous ne faisons pas comme Moshé, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d'Israël ne fixassent pas les regards sur la fin de ce qui était passager. Mais ils sont devenus durs d'entendement. Car jusqu'à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture du Pacte antique, et il ne se lève pas, parce que c'est dans le Messie qu'il disparaît. Jusqu'à ce jour, quand on lit Moshé, un voile gît sur leurs cœurs; mais lorsque les cœurs font téshouvah à l'Adôn, le voile est ôté. Or, l'Adôn c'est le souffle; et là où est le souffle d' l'Adôn, là est la liberté. Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire de l'Adôn, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par l'Adôn, le souffle » (Deuxième Lettre envoyée aux Corinthiens 3:6-18)
Une lecture superficielle de ce Texte
du Rabbi nous amène à la conclusion suivante : la
« loi » c'est du passé, aujourd'hui c'est la grâce en
Jésus !
Or, en vérité, c'était exactement
dans le piège qu'il ne fallait pas tomber !
Et maintenant, expliquons, avec l'aide
d'HaShem.
Remarquons que Rabbi Shaoul
désigne la Torah de Moshé par les expressions :
« service de mort » et « service de
condamnation », tandis que Yéshou'a est désigné
par les expressions « service du souffle » et
« service de justice ». Ou encore que la « lettre
tue » mais que le « souffle vivifie ».
L'on pourrait donc se dire : « ok,
la Torah conduit à la mort, mais Yéshou'a à la vie » !
Seulement, voici ce que Shaoul
écrit en un autre endroit :
« La
Torah est souffle » (Lettre envoyée aux Romains,
7:14)
Donc, si nous suivons bien, cela nous
donne : la Torah est le service de mort, elle tue, mais
le souffle lui vivifie. Ah oui, et la Torah est souffle au
fait !
Alors, il faut savoir Paulo : la
Torah nous tue ou nous vivifie ? La Torah est
condamnation ou justice ?
Réponse : les deux !
En vérité, la lettre, la Torah,
tue ou vivifie, selon...notre cœur.
Et pour prouver et expliquer cela, il
nous faut l'aide de la Torah Orale d'Israël, où sont
rapportées les paroles suivantes :
« Les
Tables étaient l’œuvre d'E.lohim, et l'écriture était
l'écriture d'E.lohim, gravée [harout
en hébreu] sur les Tables »
(Shémot/Exode
32:16). Ne lis pas 'Harout, mais 'Hérout, la liberté, car seul
celui qui s'applique à l'étude de la Torah est un homme libre »
(Pirqé Avot, 6:2)
« Rabbi
El'azar a enseigné : que veut dire : « gravée
sur les tables » ?
Si les premières tables n'avaient pas été brisées, la Torah
n'aurait jamais été oubliée en Israël [car elle serait
restée gravée à jamais dans leurs esprits] » (Torah
Temima, Shémot 32:16 ; 'Erouvîne
54a).
« Il
n'est pas dit « dans les Tables » mais « sur les
Tables » car les Paroles Divines sont venues s'y fixer depuis
le haut...Ces lettres étaient « libres » et nullement
assujettis aux tables, si bien qu'elles n'ont pas été annulées par
l'annulation des tables, puisque lorsque celles-ci ont été brisées,
les lettres se sont envolées […] les
mêmes lettres qui s'étaient envolées des premières tables se
fixent sur les deuxièmes […] comme
les lettres s'envolaient des tables, les pierres sont devenues
lourdes, et sont tombées des mains de Moshé »
(Kéli Yaqar sur Shémot/Exode 32:16)
« Lorsque
Moshé est arrivé à proximité du veau, dans un lieu d'impureté et
de péché, l'écriture des Tables s'est envolée »
(Shémot Rabbah 46:1)
« En
voyant le veau, il a perdu ses forces et il n'en a plus eu assez pour
continuer à porter les Tables » (Rachbam
sur Shémot/Exode 32:19)
Rabbi
Shaoul nous apprends que la Torah, la lettre, est souffle
en réalité. Nos Maîtres nous expliquent, dans ces passages
du Talmud et du Midrash, que les lettres sont des
énergies spirituelles (qui représentent le souffle, l'esprit) qui
ont été gravées sur les Tables. Quand Moshé a vu le
peuple danser et fauter avec le veau d'or, l'impureté de la faute
est montée jusqu'à lui, et les lettres saintes gravées n'ont pu
supporter ces grosses énergies spirituelles négatives. Elles se
sont donc « envolées », laissant Moshé seul avec
les deux Tables...vierges. Or, ces lettres rendaient la pierre légère
comme une plume. En « s'envolant », celles-ci s'alourdir
tellement que le berger d’Israël n’eut plus la force de
les porter, et il les jeta devant lui, avant qu'il ne s'écroule sous
leur poids.
Nous
comprenons déjà, dans un premier temps, que les choses ne sont pas
aussi simples que l'on veut bien le dire depuis 2000 ans. La Torah
est souffle, dit Rabbi Shaoul, et là où est le souffle, là
est la liberté. Et la Torah orale confirme donc cela en
disant que les lettres de la Torah sont bien le souffle, et
que celui qui s'adonne à la Torah est libre, car en hébreu,
« libre » et « gravé » sont semblables.
Mais
alors, où est le problème ? Et surtout, où est la différence
entre la Torah de Moshé et Yéshou'a ?
Pour
comprendre cela, il va nous falloir aborder quelques notions de
kabbale, les secrets de la Torah d'HaShem.
Le
Tanya nous enseigne que l'homme possède deux âmes en
lui : une âme animale, la néfesh habéhémi, et une âme
divine, la néfesh haéloki. Dans le langage de Rabbi
Shaoul, ces deux âmes s'appellent la Torah de l'homme/de
l'animal et la Torah de l'esprit, ou, selon les traductions,
la « loi du péché » et la « loi de D.ieu »,
qui se font la guerre en l'homme (voir la Lettre envoyée aux
Romains, dans les premiers chapitres).
L'âme
animale pousse l'homme vers la faute, tandis que l'âme divine pousse
l'homme vers son Créateur. Le but de l'homme n'est pas de
supprimer la torah de l'animal mais de la soumettre, car il est
écrit :
« Tu
aimerais HaShem ton E.lohim de tout tes cœurs »
(Devarim/Deutéronome 6:5)
En
hébreu, il est écrit « lévavékhèm »
soit littéralement de tout « tes cœurs » et non ton
cœur. Or l'homme possède-t-il deux cœurs ? En un certain
sens, oui : celui abritant le bon penchant/l'âme divine, et
celui abritant le mauvais penchant/l'âme animale.
Or,
pour ce qui concerne les messagers des Cieux
(les anges), il est dit qu'il « n'est
pas écrit lavékhem/vos cœurs, mais libékhem/votre cœur, car le
penchant au mal ne règne pas sur les messagers des Cieux ».
Il est également dit que Moshé fit descendre le pain des
messagers pour nourrir les bnéi Israël dans le
désert. Cependant, « la nourriture et
la boisson n'existent pas dans les Cieux » (Béréshit
Rabbah 48:14), car en réalité le pain dont il est fait
allusion ici est la Torah, comme il est dit, et celui-ci
nourrit le cœur :
« Le
pain est la nourriture du cœur » (Béréshit
Rabbah 48:11)
La
place de la Torah est donc parmi les hommes qui possèdent un
yetser harâ, une âme
animale, et non parmi les messagers qui n'ont pas
besoin de ce pain.
Ainsi,
« Moshéh vous a donné le pain du
ciel, mais les pères l'ont mangé et ils sont morts
[spirituellement] »
(Yéshou'a). Cependant, le Messie donne le pain
véritable :
« De
même que le premier Rédempteur a fait descendre la manne, car il
est écrit : « Je
vais faire pleuvoir pour vous du pain du haut des Cieux »
(Shémot/Exode
16:4), de même le Rédempteur final fera-t-il descendre la manne,
car il est écrit : « Foisonne
le froment sur la Terre » (Téhilim/Psaume
72:16) »
(Qohélèt Rabbah
1,28)
La
première manne est descendue, mais est restée « des
Cieux », tandis que la deuxième manne descend et
foisonne sur Terre,
elle arrive à s'unir et à intégrer, à épouser cette Terre.
Pourquoi ? Car en réalité, la Torah du désert ne
procédait pas de la malkhout,
royauté (un Attribut Divin), mais de tiféret,
vérité (un autre Attribut Divin), car « Tiféret
désigne le don de la Torah » et « Tu
as donné la vérité à Ya'aqov »
(Mikha/Michée 7:20) et ne possède donc pas le pouvoir
de transformer l'âme animale
en bien.
Nous
savons que les Attributs Divins se « divisent » en
plusieurs « lumières spirituelles » qui sont :
Kéter
= la couronne
Hokhmah
= la sagesse
Binah
= l'intelligence
Dâat
= la connaissance
Héssed
= la bonté, l'amour
Gévourah
= la justice
Tiférèt
= la vérité, l'harmonie
Nétsah
= la victoire, l'éternité
Hod
= la splendeur
Yessod
= le fondement (pureté sexuelle principalement)
Malkhout
= la royauté
Chacun
de ces Attributs représente une « lumière spirituelle »,
une voie de conduite d'action du Divin. La Malkhout, la
Royauté, par contre, ne possède aucune lumière en elle-même,
cependant, elle « récolte », toutes les autres lumières
qui lui viennent des autres Attributs.
Or,
nous avons été créé sur l'image d'E.lohim, ce qui signifie
que tous ces attributs se retrouvent aussi dans l'homme. La Torah
que Moshé nous a donné est liée à Tiférèt et donc
elle ne « remplit » pas tous les attributs qui se
trouvent dans l'homme. A l'inverse, Yéshou'a nous donne le
« véritable pain », celui de la « terre »
(selon le Midrash), donc celui de la Royauté. Cette dimension
de la Torah récolte donc toutes les « lumières
spirituelles », donc elle seule est capable de remplit
totalement l'homme, qui possède tous les attributs en lui !
Maintenant nous comprenons selon le
secret de la Torah les dires de Yéshou'a : il
n'est pas venu détruire, abolir la Torah de Tiféret, il est
venu pour la remplir, la parfaire ! Et comment ? En
incluant Tiféret dans Malkhout ! Dans un langage
plus accessible, la mission du Roi Messie est de marier la
Torah de Moshé avec le cœur de l'homme, et cela ne la
supprime pas, mais au contraire, lui donne enfin les bonnes
fondations pour pouvoir être pratiquée !
Et
cette vérité était comprise et vécu car il est rapporte :
« des dizaines de milliers de Juifs ont cru [en Yéshou'a] et
TOUS son zélés pour la Torah ! »
Donc,
la Torah du Messie, qui est la Torah de la Royauté,
de la Terre, combinée à la Torah de Tiféret possède
la force et la puissance d'opérer une transformation en profondeur
en l'homme, car sa Torah est comprise et assimilée même par
les améi haarets, les gens du peuple les plus simples :
« Les
lèvres du Tsaddik/Juste nourrissent la foule »
(Mishléi/Proverbes 10:21)
Ainsi,
les pères sont morts spirituellement car les deux dimensions
n'étaient pas réunies et la division provoque la mort. Mais la vie,
qui est l'unité complète dans la différence se trouve dans la
réunion de ces deux dimensions qui sont une dans la Torah du
Messie et ainsi : « louanges
soient rendues à HaShem, qui opère cela par Yéshou'a le Messie,
notre Adôn » (Lettre envoyée aux Romains
7:24).
Car
par l'entendement, l'homme est soumis à la torah divine, dans
la nature terrestre à la torah de l'animal, et par la Torah
du Messie, les deux Torot
(Torah au pluriel)
fusionnent et permettent à l'homme avec ses nouveaux outils de
travail de parvenir au statut de tsaddik/Juste,
car le Messie tsidkénou dévoile cette dimension « qu'un
homme n'aurait pu atteindre par ses propres forces »
(Tanya) et ainsi nous ne sommes plus soumis à la
puissance de la torah de l'animal mais à la torah divine
qui, dévoilée par la bonté d'HaShem permet d'atteindre le
statut de tsaddik/juste, et
c'est ici l'explication véritable de :
« La
faute ne vous dominera plus, car vous n'êtes pas soumis à cette
torah [de l'animal]
mais soumis à [la torah
de] la bonté »
(Lettre envoyée aux
Romains 6:14)
En résumé et pour conclure, la Torah
que Moshé nous a donné n'avait pas la puissance d'unir les
deux dimensions présentes en l'homme, c'est pourquoi elle provoquait
sa mort, car la mort est la séparation, tandis que la vie est
l'union. Or, la Torah de Yéshou'a permet ce mariage en
l'homme, car les énergies spirituelles incarnées dans les lettres
ont la capacité, dans l'Alliance Renouvelée, de se graver
non seulement dans le cœur qui abrite l'âme divine, mais aussi dans
le cœur qui abrite l'âme animale !
Or, la Torah étant souffle, et
en Yéshou'a notre âme animale pouvant être mariée à notre
âme divine, nous pouvons maintenant pratiquer la Torah comme
il se doit !
Et c'est ici qu'Edom a chuté
depuis 2000 ans, en croyant que simplement s'engager avec Yéshou'a
sans pratiquer la Torah suffisait. Mais notre Roi Messie
connaissait depuis le début la « peau de banane » que
ces notions comportaient, et c'est pourquoi il s'empressa de dire :
« Ne
croyez pas que je sois venu abolir la Torah, je ne suis pas venu
abolir mais remplir »,
ce qui signifie que le Roi Messie ne vient QUE pour faire le
travail qui nous est impossible à faire, c'est-à-dire réunir la
Torah de Tiférèt à la Torah de Malkhout.
Dans un langage plus compréhensible, graver les énergies
spirituelles des lettres de la Torah dans notre âme animale.
CEPENDANT, cela n'est qu'une base ! Nos pères n'ont pas réussi
à rester fidèles à la Torah car il leur manquait ces
fondations solides. Mais maintenant, nous avons les bons outils pour
pouvoir ENFIN la pratiquer, et c'est l'avertissement de la suite du
verset que je paraphrase :
« Faites
attention ! Je ne vous apporte que les fondations pour pouvoir
bâtir dessus ! Tant que les Cieux et la Terre existeront, la
Torah perdurera ! Donc si l'un d'entre vous s'amuse à en abolir
la moindre mitsvah, eh bien dans mon Royaume, il sera un « petit
spirituel ». A l'inverse, enseignez-les et pratiquez-les et
vous serez des grands dans mon Royaume ! »
(Matityahou/Mathieu 5:18-19)
Et cette explication est la seule
véritable, puisque cela se marie à la perfection avec les dires des
prophètes :
« Mon
Serviteur David [Le Messie]
sera leur roi, et ils auront tous un seul guide. Ils suivront Mes
ordonnances, ils observeront Mes loi pour les mettre en pratique »
(Yéhézqèl/Ézéchiel
37:24)
« Car
de Tsiôn sortira la Torah, et de Yéroushalayim la Parole d'HaShem »
(Yésha'yahou/Isaïe 2:3)
« C'est
par le feu qu'HaShem exerce Ses jugements, c'est par Son glaive qu'Il
châtie toute chair […] qui
mangent de la chair de porc, des choses abominables »
(Yésha'yahou/Isaïe 66:16-17)
« A
chaque Rosh Hodesh
et à chaque Shabbat, tout chair viendra se prosterner devant Moi »
(ibid.66:23)
Notons bien que dans le prophète, ce
dernier verset est lié avec celui d'avant, parlant des Cieux
renouvelés et de la Terre renouvelée. La pratique de la Torah
sera donc toujours actuelle dans le 'olam haba, le monde
futur.
Les Écritures nous prouvent
donc que la pratique de la Torah ne cesse pas. Tout discours
contraire à cela est un discours anti-messie, car le Messie
est la Torah et nous donne la Torah véritable, donc
prêcher contre la Torah et sa pratique, c'est être contre le
Roi Messie Yéshou'a.
Que cette Fête de Péssah
nous sorte et nous libère de toutes les conceptions païennes et
nous fasse entrer dans la liberté de la Torah du Roi
d'Israël et des Nations, amen !
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