יֵשׁוּעַ הַמָּשִׁיחַ בֶּן־דּוִד

הַמֶּלֶךְ



נָבִיא אָקִים לָהֶם מִקֶּרֶב אֲחֵיהֶם כָּמוֹךָ וְנָתַתִּי דְבָרַי בְּפִיו וְדִבֶּר אֲלֵיהֶם אֵת כָּל־אֲשֶׁר אֲצַוֶּנּוּ


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jeudi 8 mars 2018

L'origine véritable du christianisme



Avertissement : quand il sera parlé de « chrétien », cela ne vise pas les personnes à titre individuel qui ne sont que des victimes de l'histoire et de l'ignorance perpétré par l’Église, mais la religion dans son ensemble.

L'an dernier, un commentaire sur la parasha « Ki-Tissa » avait été fait, que vous pouvez retrouver ici : https://www.leroimessie.com/parasha-ki-tissa, expliquant les origines véritables du christianisme. Ce message fait suite à cette explication, que nous allons creuser.

Nous voyons donc que le christianisme, en réalité, est un nouveau veau d'or, construit par les Gentils (Non-Juifs) de la communauté du Messie. Toutes ces personnes, qui sont à l'origine de cette religion, ont agi à l'encontre des directives du Roi Messie et de ses élèves, ainsi qu'il est dit :

« et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit » (Matityahou/Mathieu 28:20)

Or, le Messie ne prescrit que la Torah. De même il est dit :

« Je sais qu'il s'introduira parmi vous, après mon départ, des loups cruels qui n'épargneront pas le troupeau, et qu'il s'élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples après eux »  (Actes 20:29-30)

De son côté, Shi'môn écrira :

« Sachant avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises, et disant : Où est la promesse de son avènement ? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création » (2 Pierre 3:3-4)

Il est intéressant de constater qu'ici, Shi'môn avertit que des moqueurs viendront car Yéshou'a ne sera pas revenu. Mais de qui le talmid du Messie parle-t-il ? De gens païens, venant de l'extérieur pour se moquer du peuple ? Non ! « Il viendra », dans la communauté du Messie, « des moqueurs avec leurs railleries », des gens qui se moqueront des Nazaréens authentiques, « marchant selon leurs propres convoitises ». Le mot grec employé ici pour « convoitise » renvoi à l'idée de « désir, avidité, luxure ». A quoi est-il fait ici allusion ?

Nous trouvons une réponse à cela dans la Torah, plus précisément dans la Tradition Orale :

« Lorsque Moshé est monté vers les hauteurs, il a dit aux Bnéi Israël : « au bout de quarante jours, au début de la sixième heure, je reviendrai ». Au bout de quarante jours, Satân est venu et a semé la confusion dans le monde. Il leur a dit : « où est votre Maître, Moshé ? » Ils lui ont dit : « il est monté vers les hauteurs ». Satân leur a dit : « les six heures sont déjà passées ! » Mais le peuple n'a pas fait cas de lui. Alors Satân dit : « il est mort », mais le peuple ne fit toujours pas cas de lui. Satân leur a alors montré l'image du cercueil de Moshé. Et c'est pourquoi ils dirent à Aharôn : fais-nous un dieu car Moshé n'est plus » (Shabbat 89a)

Relions ce Texte aux commentaires de la Parasha Ki-Tissa donnés en lien plus haut, ainsi qu'aux paroles des talmidîm, des élèves du Messie. Rachi nous apprend que le 'erev rav, les convertis, ont dressé le veau d'or en y obligeant Aharôn (voir les commentaires) puis se sont levés pour se divertir, soit s'adonner, entre autre, à la luxure.

Nous retrouvons ici l'avertissement de Shi'môn : il va venir des gens, convertis, moqueurs et ne recherchant que leur plaisir, qui vont « voir le cercueil de Moshé », sous-entendu voir la « mort du Messie Juif ». En hébreu, le mot Moshé possède la même valeur numérique que le mot Shiloh, un des noms du Messie. Ils vont donc obliger Aharôn (les Juifs Nazaréens en infériorité numérique) à dresser un veau d'or (un Jésus déjudaïsé) car le « véritable, le Messie Juif qui enseigne la Torah » n'est plus !

Ce nouveau veau d'or, ce « Jésus » (et non plus le véritable Yéshou'a) devait « marcher devant eux pour les conduire en terre promise », comprendre : dans le monde futur.

Mais ce n'est pas fini, car la Torah de vérité a encore beaucoup d'allusions à livrer.

Dans le monde de la religion d'Edom (le christianisme), beaucoup se font appeler « Efraïm ». Sans même le savoir, ils accomplissent, en quelque sorte, l'allusion d'un prophétie à leur égard, quand il est dit :

« Efraïm a multiplié les autels pour pécher, et ses autels l'ont fait tomber dans le péché. Que J'écrive pour lui toutes les ordonnances de Ma Torah, elles sont regardées comme quelque chose d'étranger » (Hoshé'a/Osée 8:11-12)

La Torah est devenue étrangère aux yeux de la religion d'Edom, elle n'existe plus ! Car le « veau d'or » ne demande pas son étude et sa pratique ! Et tout cela le fait pécher de tous les côtés, le mot « péché », en hébreu signifiant « rater la cible ». Mais la prophétie va aller encore plus loin, et cela fait frémir :

« Maintenant HaShem se souvient de leurs iniquités, et Il punira leurs péchés : ils retourneront en Égypte » (8:13)

Toute la Torah, absolument toute la Parole Divine, se base sur une unique chose : sortir l'homme d’Égypte, de sa prison et de ses limites, pour l'amener à la liberté. Mais cela ne passe QUE par la Torah. Or, Efraïm a supprimé la Torah. Résultat : tu restes en Égypte !
Tu crois que le veau d'or va t'amener en terre Promise, mais en réalité, tu ne fais que tourner en rond, car le veau n'est, en définitive, que l'idole des égyptiens.

A l'époque de Moshé, le 'erev rav (les convertis) a donc coupé les liens qui existaient entre Israël et Moshé, le Messie Juif. La Torah dit de se sanctifier, mais durant la faute du veau d'or, ils se « levèrent pour se divertir », selon Rachi : pour s'adonner l’idolâtrie et à la luxure. Cependant, nous savons que dans la Torah, l'adultère, la luxure, renvoie aussi à la débauche « spirituelle », c'est-à-dire aller vers d'autres élohim, d'autres dieux, qu'HaShem.

En résumé, nous avons donc des personnes « converties » qui suppriment la Torah, commettent l'adultère spirituelle et restent esclaves en Égypte. Sachant cela, regardons de plus près les décisions qui ont été prises par la religion d'Edom, assez tôt dans son histoire :

« Les chrétiens ne doivent pas judaïser et se tenir oisifs le jour du sabbat, mais qu'ils doivent travailler ce jour-là ; qu'ils honorent le jour du Seigneur et qu'ils s'abstiennent autant que possible, en leur qualité de chrétiens, de travailler en ce jour. S'ils persistent à judaïser, qu'ils soient anathèmes au nom du Christ » Synode de Laodicée (343-381)

« L'on ne doit pas accepter des juifs du pain non levé et que l'on ne doit prendre aucune part à leurs sacrilèges » (ibid)

« Si des juifs veulent se faire catholiques, comme il est reconnu qu'ils reconnu qu'ils reviennent facilement à leur vomissement, ils devront rester huit mois dans le catéchuménat avant d'être baptisés. On n'avancera l'époque de leur baptême que dans le cas où ils tomberaient en danger de mort » Synode d'Adge (506)

« A partir du Jeudi-Saint les juifs ne doivent pas paraître parmi les chrétiens durant quatre jours consécutifs » 3ième Synode d’Orléans (538)

"N'ayons donc rien en commun avec les juifs, qui sont nos adversaires...cette irrégularité (le fait d'observer la pâque juive) doit être corrigée, afin que nous n'ayons plus rien en commun avec les parricides et les meurtriers de notre Seigneur" (Constantin)

"Il semble que ce soit une chose indigne que nous suivions les pratiques des Juifs... N'ayons donc plus rien en commun avec cette foule détestable juive ; retirons-nous de toutes les participations à leurs bassesses... Priez continuellement que votre âme ne soit pas souillée par une fraternité avec leurs coutumes... Nous devons tous nous unir pour éviter d'imiter la coutume des Juifs" (Eusèbe)

LE CONCILE DE LAODICEE (365 après Yéshou'a) - "Il est interdit de célébrer des fêtes juives, ni même de participer à des fêtes avec eux (Canon 37). Les chrétiens ne doivent pas judaïser en se reposant le jour du shabbat, mais ils doivent travailler ce ou-là. Si l'on en trouve être JUDAÏSANT, qu'ils soient ANATHEMES du Christ." [Canon 37]

LE CONCILE DE NICEE II (787) - "(Ceux qui) ouvertement ou secrètement observent le shabbat et suivent d'autres pratiques à la manière juive, ne doivent pas recevoir la communion, ni la prière et ne doivent pas entrer dans l’Église" [canon VIII]

Etc, etc.

En réalité, nous savons que Rabbi Shaoul/Paul et Yéshou'a ont TOUJOURS prêché et vécu la Torah. Donc toutes les personnes qui ne font pas Shabbat et les Fêtes d'HaShem (la base de la Torah, pour commencer), en VERITE n'obéissent pas à Shaoul et au Messie mais obéissent à Con-stantin et ses copains. En VERITE, un chrétien « lambda » n'est donc plus sous la Torah et la Grâce du Messie d'Israël, mais sous « la Loi de l'Empire Romain ».

Et c'est, malheureusement, une réalité physique et spirituelle, car la religion d'Edom n'a fait que renforcer les liens de l’Égypte sur les croyants. En voulant « déjudaïser », ils se sont « égyptianisés » ! Car les us et coutumes de cette religion ne sont que des vestiges de l’Égypte et de la Babylone antique.

Beaucoup accusent de « Judaïser » la Parole, mais cela est complètement faux. Le salut vient des Juifs et un croyant authentique est greffé sur Israël contrairement à sa nature, il doit donc « judaïser » obligatoirement, car les Juifs deviennent SON peuple.

Par contre, la véritable accusation qui pourrait être faite est de ROMANISER la Parole Divine.

Rabbi Shaoul parle d'un olivier franc avec des branches d’olivier sauvage greffés sur lui. Mais cela c'est la théorie. Car en vérité la situation est la suivante : il existe deux oliviers : un olivier franc, Israël, et un olivier romain, le christianisme. Il ne suffit plus de venir de l'arbre sauvage, il faut aussi se déraciner de l'arbre édomique.

L'olivier édomique

« Ainsi ils craignaient HaShem, et ils servaient en même temps leurs dieux d'après la coutume des nations » (II Mélakhim/Rois 17:33)

Noël

Noël est une fête d'origine romaine donc païenne. Cette fête s'inscrit dans les saturnales, où l'on célébraient le « dieu » Saturne. L'Empereur Aurélien fera du 25 décembre le jour de la naissance du Soleil, célébrant par là même « sol invictus » (le soleil invaincu). Cette « divinité » prend racine dans le mythe d'Apollon et de Mithra, deux faux dieux.
Les coutumes ? Grands repas, cadeaux échangés, décorations avec des plantes diverses.

Concernant le « sapin de noël » :

« Une vieille fable babylonienne parle d’un arbre « toujours vert » qui était sorti de la souche d’un arbre mort. La souche était le symbole de Nimrod, mort, le nouvel arbre symbolisait Nimrod revenu à la vie en la personne de Thammuz ! Chez les druides, le chêne était sacré, chez les Égyptiens c’était le palmier, et chez les Romains c’était le sapin que l’on décorait avec des fruits rouges pendant les saturnales ! » (Walsh, Curiosities of Popular Customs, p. 242)

« Answers to Questions (Frederick J. Haskins) : « L’arbre de Noël provient d’Égypte et son origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël »

« Écoutez la parole qu'HaShem vous adresse, Maison d'Israël [Greffés compris!] !
Ainsi parle HaShem :
N'imitez pas la voie des Nations, Et ne craignez pas les signes du ciel, Parce que les nations les craignent.
Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; La main de l'ouvrier le travaille avec la hache;
On l'embellit avec de l'argent et de l'or, On le fixe avec des clous et des marteaux, Pour qu'il ne branle pas 
»
(Yirméyahou/Jérémie 10:1-4)

Marie et Jésus

En vérité, toutes les statues de « marie et jésus enfant » ne sont que des personnages mythologiques. En « christianisant » les mythologies, les « pères de l'église » n'ont que changé le nom de cette statue. Cette Marie est en réalité la déesse Astarté, la reine du ciel.

En Égypte elle représentait Isis et Horus (le bébé dans les bras)
En Inde Devaki et Krishna
En Italie Vénus et Jupiter

« Les enfants ramassent du bois, les pères allument le feu, Et les femmes pétrissent la pâte, Pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, Et pour faire des libations à d'autres dieux (la mère et l'enfant pris pour un dieu incarné), Afin de m'irriter » (Yirméyahou/Jérémie 7:18)


La « trinité »

“ On pourrait avoir l’impression qu’en dernier ressort le dogme de la Trinité est une invention de la fin du IVsiècle. Dans un certain sens, c’est exact. [...] La formulation ‘ un Dieu en trois personnes ’ n’a pas été solidement établie ni sans doute pleinement intégrée à la vie chrétienne et à sa profession de foi avant la fin du IVsiècle. ” — New Catholic Encyclopedia (1967), volume 14, page 299.

La « trinité » est un concept purement païen qui se retrouve dans toutes les mythologies païennes :
« Egyptian Religion », de Siegfried Morenz : « La Trinité était une préoccupation majeure des théologiens égyptiens », « Trois dieux étaient combinés pour ne former qu’un seul être auquel on s’adressait alors au singulier. La théologie chrétienne subi l’influence spirituelle directe de la religion égyptienne »

« les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit » (Matthieu 28:19) → Ce verset n'existe par dans les manuscrits originaux, il s'agit d'un rajout ultérieur par les scribes !

« Écoute Israël, HaShem notre E.lohim, HaShem Est UN » (Devarim/Deutéronome 6:4)

Le dimanche comme « Jour du Seigneur »

Constantin vénérait le soleil « sol invictus » le dimanche, premier jour de la semaine. Ce-dernier fut assimilé au « jour du Seigneur ».

« Le septième jour est le jour du Shabbat d' HaShem ton E.lohim » (Shémot/Exode 20:10)

La « cène »

Le protestantisme est sorti du catholicisme. La « sainte cène » est un dérivé de l’eucharistie. Certaines définitions changent, mais le fond reste identique.

Le rituel mithriaque ressemblait de si près au sacrifice eucharistique de la messe, que des pères chrétiens accusèrent le démon (!) d’avoir inventé ces analogies ((L’histoire de la civilisation, volume IX, pages 240 et 247, Durant, Editions Rencontre, Lausanne 1963)

« Les disciples firent ce que Yéshou'a leur avait ordonné, et ils préparèrent Péssah » (Matityahou/Mathieu 26:19)

« Faites ceci en mémoire de moi » (Luc 22:19) → A chaque fois que vous ferez le repas de Péssah une fois par an, selon l'ordonnance de la Torah, quand vous mangerez de la matsah (pain sans levain) et que vous boirez dans la coupe de vin (comme tous les Juifs jusqu'à aujourd'hui), faites-le en vous souvenant de l'expiation que procure la mort d'un Juste, à plus forte raison celle du Mashiah/Messie. Tout simplement.

*

Râ, Horus, Isis, Nimrod, Mithra, Jupiter, Astarté, Marie, Jésus (le faux)...les noms changent, mais ce sont toujours les mêmes idoles depuis la chute de l'homme. Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. Extérieurement, les rites évoluent, les traditions prennent d'autres configurations, mais ce qui se cache derrière tout cela ne change pas.

L'antiMessie

Mais allons encore plus loin ! Beaucoup parlent de l'anti-messie, et l'une des actions de cet esprit est de « changer les temps et la loi » (Daniel 8:25).

N'est-ce pas là l’œuvre de la religion d'Edom ? Les temps ont été changés : les Fêtes de la Torah sont remplacées par les fêtes de Babylone, et la loi n'est plus !

Le christianisme, qui n'a plus rien à voir avec le Judaïsme Nazaréen de Yéshou'a et des apôtres, est donc, dans son essence, anti-Messie.

Car le Messie, c'est la Torah vivante qui mène à la pratique de la Torah. Or, Edom abolit la Torah, efface les Fêtes, et impose les croyances de Babylone et de Rome au monde.

En vérité, Israël et les greffés véritables, les convertis authentiques, sont sous la Torah d'Israël et la Grâce du Messie Yéshou'a. Les chrétiens sont sous la loi de Constantin et sous l'esclavage de Satân, le Pharaôn de cette Babylone.

Et il n'y a qu'une seule chose à dire à ce stade : « sortez de Babylone mon peuple » ! Car de même que Moshé redescendit de la montagne et demanda aux Léviim de tuer tous ceux qui fautaient loin de la Torah, avec le veau d'or, de même Yéshou'a va revenir très rapidement, et demander à ses anges de tuer tous ceux qui se sont détournés de la Torah, comme il est dit :

« Il exerce la justice parmi les nations: tout est plein de cadavres; Il brise des têtes sur toute l'étendue du pays » (Téhilim/Psaume 110:6)

« Le Ben Adâm enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l'iniquité » (Matityahou/Mathieu 13:41)

Le mot « iniquité » dans ce verset vient du grec « anomia » qui signifie littéralement « sans Torah ».

Encore une fois, nous parlons du christianisme en général, et non des chrétiens à titres individuels. Pendant 2000 ans, cette vérité a été occultés aux yeux des chrétiens sincères, et HaShem, qui est miséricordieux, prend tous les paramètres en compte.

Cependant, nous arrivons aujourd'hui dans la dernière phase de l'histoire Adamique, et la vérité se révèle et se répand. Tout ceux qui, en connaissance de cause, refuseront sciemment de revenir à cette vérité de la Torah éternelle en Yéshou'a, seront coupés de l'olivier franc, et périront spirituellement dans le pays de Babylone.

Nous arrivons dans peu de temps à la Fête de Péssah. Que tous les véritables greffés sur Israël puissent la célébrer selon la date fixée par la Torah d'Israël, et que cette Fête commémorant la sortie d’Égypte devienne également la commémoration de leur propre début de sortie d’Égypte !

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