La
pierre angulaire de l'homosexualité
Par la Torah, nous savons que l'immoralité sexuelle est un
des péchés les plus grave, qui déclenche
le jugement d'Elohim
sur une Nation.
Nous voyons ainsi que la Terre, au temps de Noah,
était corrompue et pleine de violence, et Rachi nous précise
qu'il s'agissait, principalement, de fautes sexuelles et
d'idolâtrie : « Partout où
tu trouves débauche et idolâtrie, une catastrophe générale s'abat
sur le monde et détruit les bons et les mauvais »
(Rachi, sur Béréshit/Genèse 6:13).
Le même schéma s'est répété pour la génération de S'dome
et 'Amora (Sodome et Gomorrhe), où la débauche était
monnaie courante, notamment l'homosexualité. Et
c'est cette faute qui entraîne aujourd'hui notre perte.
Cependant, nous pourrions répliquer que l'homosexualité existe
depuis la nuit des temps, donc pourquoi affirmer qu'aujourd'hui la
Colère d'Adonaï fonderait plus que durant les autres
époques ?
En réalité, ce qui change, c'est
l'acceptation officielle de ces pratiques contre-nature. Pendant une
grande partie de l'histoire, l'homosexualité n'a pas été acceptée
par les gouvernements. Mais aujourd'hui, permettre l'union civile
entre deux personnes du même sexe a fait accéder la Nation à un
stade beaucoup plus avancé dans la rébellion envers Elohim.
La génération de Noah et celle de Lot
furent détruites quand l'homosexualité
devint une norme officielle.
Ainsi, nous pouvons affirmer qu'aujourd'hui, notre Nation prend le
même chemin que ces anciens royaumes qui ont été détruits, suite
à ces péchés. Cette mitsva/commandement vient donc d'être
détruite, abolie officiellement :
« Si un homme couche avec un homme
comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose
abominable ; ils seront punis de mort, leur sang retombera sur
eux » (Vayiqra/Lévitique 20:13)
Et maintenant, une nouvelle étape va encore être franchie très
prochainement, car la Nation est sur le point de détruire une
nouvelle mitsva :
« Une femme ne portera pas un
habillement d'homme, et un homme ne mettra pas des vêtements de
femme, car quiconque fait ces choses est en abomination à HaShem,
ton Elohim »
(Devarim/Deutéronome 22:5)
Derrière cette mitsva se trouve toute une pensée Divine
concernant l'homme et la femme. « Mettre l'habit de »
signifie revêtir l'identité de l'autre, quand un homme abandonne sa
nature masculine et la femme sa nature féminine. Elohim a
créé ces deux êtres différents mais complémentaires, et vouloir
usurper ces identités revient à abolir la Torah du Créateur.
En effet, le mariage homosexuel n'est qu'une
étape dans un plan humain beaucoup plus vaste, visant à détruire
toutes conceptions de la famille selon HaShem.
Car aujourd'hui, les autorités veulent
inculquer dès les plus jeunes âges la théorie du genre,
qui consiste à supprimer les notions
d'identité masculine et féminine, et à « laisser aux enfants
le soin de choisir leur orientation sexuelle ». Que le garçon
n'ait plus aucune honte à jouer à la poupée, et que la fille
n'hésite plus à manier des jouets de guerres. Si un enfant a une
tendance à être attiré par les personnes de même sexe que lui, il
faudra l'encourager dans cette voie, en lui disant qu'il s'agit d'une
attraction tout à fait normale.
La théorie du genre, dans le fond, consiste
à remettre en question les fondements posés par Elohim.
Cela n'est que la suite logique de la construction humaine sur la
pierre angulaire qu'est le rejet de la vérité.
En conséquence, les personnes prônant l'hétérosexualité et la
famille selon la Torah sont taxés de sectaires,
d'intégristes, d'obscurantistes, ne sachant pas ce qu'il y a de
meilleur pour leurs enfants.
Mais lisons plutôt quelques déclarations du ministre de
l'éducation, et tremblons :
« "changer
les mentalités (...) notamment par le biais d'une éducation
au respect de la diversité des orientations sexuelles".
(Vincent Peillon, Lettre du 4 janvier 2013 aux recteurs)
(Vincent Peillon, Lettre du 4 janvier 2013 aux recteurs)
"Toute l'opération
consiste bien, avec la foi laïque, à changer
la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser
définitivement l'Eglise".
(Vincent Peillon, Une religion pour la République, p. 277, édition du Seuil, 2010)
(Vincent Peillon, Une religion pour la République, p. 277, édition du Seuil, 2010)
"Il faut donc à la fois déraciner
l'empreinte catholique qui ne s'accommode pas de la République et
trouver, en dehors des formes religieuses traditionnelles, une
religion de substitution qui
arrive à inscrire jusque dans les moeurs, les coeurs, la
chair, les valeurs et l'esprit républicain sans lesquels les
institutions républicaines sont des corps sans âme qui se préparent
à tous les dévoiements".
(Vincent Peillon, ibid, p. 34)
(Vincent Peillon, ibid, p. 34)
"La laïcité française, son ancrage premier dans l'école, est
l'effet d'un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche
permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser
la Révolution comme promesse politique, morale, sociale,
spirituelle. Il faut pour cela une religion
universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son
temple ou son église : ce sera l'école. Enfin, il lui faut son
nouveau clergé : ce seront les hussards noirs de la république".
(Vincent Peillon, ibid, p. 48)
(Vincent Peillon, ibid, p. 48)
Citons encore :
« Les enfants n'appartiennent pas à
leurs parents, ils appartiennent à l'Etat. »
(Laurence Rossignol, sénatrice PS, 5 avril 2013)
(Laurence Rossignol, sénatrice PS, 5 avril 2013)
"Ce qui est cause, c'est l'hétérosexualité en tant que norme.
Il nous faut essayer de penser un monde où
l'hétérosexualité ne serait pas normale."
(Eric Fassin, sociologue, promoteur de la théorie du genre en France, professeur à l'Ecole Normale Supérieure.)
(Eric Fassin, sociologue, promoteur de la théorie du genre en France, professeur à l'Ecole Normale Supérieure.)
Non, l'enfant appartient bel et bien à ses
parents, et la Torah est très claire quant à la Connaissance
d'HaShem
qui doit être transmise, et même inculquée aux enfants.
Leur éternité est en jeu, et il est
formellement interdit de les laisser dévier à gauche ou à droite
de l'Enseignement Divin, comme il est dit :
« Tu obéiras aux mitsvot d'HaShem,
ton Elohim, que je te prescris aujourd'hui, tu les observeras et tu
les mettras en pratique, tu ne te détourneras ni à droite ni à
gauche de toutes les Paroles que je vous donne aujourd'hui, pour
aller après d'autres élohims et pour les servir »
(Devarim/Deutéronome 28:14)
« Et ces Paroles, que je te donne
aujourd'hui, seront sur ton cœur, tu les inculqueras à tes
enfants » (Devarim 6:6-7)
« Tu diras alors à ton fils :
c'est en mémoire de ce qu'HaShem a fait pour moi, lorsque je suis
sorti de Mitsraïm/D'Egypte » (Shémot/Exode
13:8)
Les enfants ne sont pas la propriété de
l'Etat, ils sont la propriété d'HaShem.
Et ce n'est pas à un gouvernement débauché et corrompu que les
parents doivent rendre des comptes, mais
devant le Juge Elohim.
« […]
ni les efféminés […]
n'hériteront le Royaume d'HaShem »
(1ière Lettre aux Corinthiens 6:9 et 10)
« Que celui qui est souillé continue
à se souiller […] que celui
qui est kadosh continue à se sanctifier »
(Révélation de Yohanan 22:11)
Sources :
Tanakh
תנכ
(Première
Alliance)
B'rit Hadasha ברית
חדשה
(Alliance Renouvelée)
« La Voix de la
Thora : La Genèse », קול
התורה בראשית
de Elie Munk
Beth Yeshoua בית
ישוע
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