Avertissement :
quand il sera parlé de « chrétien », cela ne vise
pas les personnes à titre individuel qui ne sont que des victimes de
l'histoire et de l'ignorance perpétré par l’Église, mais la
religion dans son ensemble.
L'an dernier, un commentaire sur la
parasha « Ki-Tissa » avait été fait, que
vous pouvez retrouver ici : https://www.leroimessie.com/parasha-ki-tissa, expliquant les origines véritables
du christianisme. Ce message fait suite à cette explication, que
nous allons creuser.
Nous voyons donc que le christianisme,
en réalité, est un nouveau veau d'or, construit par les Gentils
(Non-Juifs) de la communauté du Messie. Toutes ces personnes,
qui sont à l'origine de cette religion, ont agi à l'encontre des
directives du Roi Messie et de ses élèves, ainsi qu'il est
dit :
« et
enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit »
(Matityahou/Mathieu 28:20)
Or, le Messie ne prescrit que la
Torah. De même il est dit :
« Je
sais qu'il s'introduira parmi vous, après mon départ, des loups
cruels qui n'épargneront pas le troupeau, et qu'il s'élèvera du
milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses,
pour entraîner les disciples après eux »
(Actes 20:29-30)
De son côté, Shi'môn
écrira :
« Sachant
avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec
leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises, et disant
: Où est la promesse de son avènement ? Car, depuis que les pères
sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création »
(2 Pierre 3:3-4)
Il est intéressant de constater
qu'ici, Shi'môn avertit que des moqueurs viendront car
Yéshou'a ne sera pas revenu. Mais de qui le talmid du
Messie parle-t-il ? De gens païens, venant de
l'extérieur pour se moquer du peuple ? Non ! « Il
viendra », dans la communauté du Messie, « des
moqueurs avec leurs railleries », des gens qui se
moqueront des Nazaréens authentiques, « marchant selon
leurs propres convoitises ». Le mot grec employé ici pour
« convoitise » renvoi à l'idée de « désir,
avidité, luxure ». A quoi est-il fait ici allusion ?
Nous trouvons une réponse à cela dans
la Torah, plus précisément dans la Tradition Orale :
« Lorsque
Moshé est monté vers les hauteurs, il a dit aux Bnéi Israël :
« au bout de quarante jours, au début de la sixième heure, je
reviendrai ». Au bout de quarante jours, Satân est venu et a
semé la confusion dans le monde. Il leur a dit : « où
est votre Maître, Moshé ? » Ils lui ont dit : « il
est monté vers les hauteurs ». Satân leur a dit : « les
six heures sont déjà passées ! » Mais le peuple n'a pas
fait cas de lui. Alors Satân dit : « il est mort »,
mais le peuple ne fit toujours pas cas de lui. Satân leur a alors
montré l'image du cercueil de Moshé. Et c'est pourquoi ils dirent à
Aharôn : fais-nous un dieu car Moshé n'est plus »
(Shabbat 89a)
Relions ce Texte aux
commentaires de la Parasha Ki-Tissa donnés en lien plus haut,
ainsi qu'aux paroles des talmidîm, des élèves du Messie.
Rachi nous apprend que le 'erev rav, les
convertis, ont dressé le veau d'or en y obligeant Aharôn
(voir les commentaires) puis se sont levés pour se divertir, soit
s'adonner, entre autre, à la luxure.
Nous retrouvons ici l'avertissement de
Shi'môn : il va venir des gens, convertis, moqueurs et
ne recherchant que leur plaisir, qui vont « voir le cercueil
de Moshé », sous-entendu voir la « mort du Messie
Juif ». En hébreu, le mot Moshé possède la
même valeur numérique que le mot Shiloh, un des noms du
Messie. Ils vont donc obliger Aharôn (les Juifs
Nazaréens en infériorité numérique) à dresser un veau d'or (un
Jésus déjudaïsé) car le « véritable, le Messie Juif
qui enseigne la Torah » n'est plus !
Ce nouveau veau d'or, ce « Jésus »
(et non plus le véritable Yéshou'a) devait « marcher
devant eux pour les conduire en terre promise », comprendre :
dans le monde futur.
Mais ce n'est pas fini, car la Torah
de vérité a encore beaucoup d'allusions à livrer.
Dans le monde de la religion d'Edom
(le christianisme), beaucoup se font appeler « Efraïm ».
Sans même le savoir, ils accomplissent, en quelque sorte, l'allusion
d'un prophétie à leur égard, quand il est dit :
« Efraïm
a multiplié les autels pour pécher, et ses autels l'ont fait tomber
dans le péché. Que J'écrive pour lui toutes les ordonnances de Ma
Torah, elles sont regardées comme quelque chose d'étranger »
(Hoshé'a/Osée 8:11-12)
La Torah est devenue étrangère
aux yeux de la religion d'Edom, elle n'existe plus ! Car
le « veau d'or » ne demande pas son étude et sa
pratique ! Et tout cela le fait pécher de tous les côtés, le
mot « péché », en hébreu signifiant « rater
la cible ». Mais la prophétie va aller encore plus loin, et
cela fait frémir :
« Maintenant
HaShem se souvient de leurs iniquités, et Il punira leurs péchés :
ils retourneront en Égypte » (8:13)
Toute la Torah, absolument toute
la Parole Divine, se base sur une unique chose : sortir
l'homme d’Égypte, de sa prison et de ses limites, pour l'amener à
la liberté. Mais cela ne passe QUE par la Torah. Or, Efraïm
a supprimé la Torah. Résultat : tu restes en Égypte !
Tu crois que le veau d'or va t'amener
en terre Promise, mais en réalité, tu ne fais que tourner en rond,
car le veau n'est, en définitive, que l'idole des égyptiens.
A l'époque de Moshé, le 'erev
rav (les convertis) a donc coupé les liens qui existaient entre
Israël et Moshé, le Messie Juif. La Torah
dit de se sanctifier, mais durant la faute du veau d'or, ils se
« levèrent pour se divertir »,
selon Rachi : pour s'adonner l’idolâtrie et
à la luxure. Cependant, nous savons que dans la Torah,
l'adultère, la luxure, renvoie aussi à la débauche
« spirituelle », c'est-à-dire aller vers d'autres
élohim, d'autres dieux, qu'HaShem.
En résumé, nous avons donc des
personnes « converties » qui suppriment la Torah,
commettent l'adultère spirituelle et restent esclaves en Égypte.
Sachant cela, regardons de plus près les décisions qui ont été
prises par la religion d'Edom, assez tôt dans son histoire :
« Les
chrétiens ne doivent pas judaïser et se tenir oisifs le jour du
sabbat, mais qu'ils doivent travailler ce jour-là ; qu'ils honorent
le jour du Seigneur et qu'ils s'abstiennent autant que possible, en
leur qualité de chrétiens, de travailler en ce jour. S'ils
persistent à judaïser, qu'ils soient anathèmes au nom du Christ »
Synode de Laodicée (343-381)
« L'on
ne doit pas accepter des juifs du pain non levé et que l'on ne doit
prendre aucune part à leurs sacrilèges » (ibid)
« Si
des juifs veulent se faire catholiques, comme il est reconnu qu'ils
reconnu qu'ils reviennent facilement à leur vomissement, ils devront
rester huit mois dans le catéchuménat avant d'être baptisés. On
n'avancera l'époque de leur baptême que dans le cas où ils
tomberaient en danger de mort » Synode d'Adge
(506)
« A
partir du Jeudi-Saint les juifs ne doivent pas paraître parmi les
chrétiens durant quatre jours consécutifs » 3ième
Synode d’Orléans (538)
"N'ayons
donc rien en commun avec les juifs, qui sont nos adversaires...cette
irrégularité (le fait d'observer la pâque juive) doit être
corrigée, afin que nous n'ayons plus rien en commun avec les
parricides et les meurtriers de notre Seigneur" (Constantin)
"Il
semble que ce soit une chose indigne que nous suivions les pratiques
des Juifs... N'ayons donc plus rien en commun avec cette foule
détestable juive ; retirons-nous de toutes les participations à
leurs bassesses... Priez continuellement que votre âme ne soit pas
souillée par une fraternité avec leurs coutumes... Nous devons tous
nous unir pour éviter d'imiter la coutume des Juifs"
(Eusèbe)
LE
CONCILE DE LAODICEE (365 après Yéshou'a) - "Il est
interdit de célébrer des fêtes juives, ni même de participer à
des fêtes avec eux (Canon 37). Les chrétiens ne doivent pas
judaïser en se reposant le jour du shabbat, mais ils doivent
travailler ce ou-là. Si l'on en trouve être JUDAÏSANT, qu'ils
soient ANATHEMES du Christ." [Canon 37]
LE
CONCILE DE NICEE II (787) - "(Ceux qui) ouvertement ou
secrètement observent le shabbat et suivent d'autres pratiques à la
manière juive, ne doivent pas recevoir la communion, ni la prière
et ne doivent pas entrer dans l’Église" [canon VIII]
Etc,
etc.
En
réalité, nous savons que Rabbi Shaoul/Paul et Yéshou'a
ont TOUJOURS prêché et vécu la Torah. Donc toutes les
personnes qui ne font pas Shabbat et les Fêtes d'HaShem
(la base de la Torah, pour commencer), en VERITE n'obéissent
pas à Shaoul et au Messie mais obéissent à
Con-stantin et ses copains. En VERITE, un chrétien « lambda »
n'est donc plus sous la Torah et la Grâce du Messie
d'Israël, mais sous « la Loi de l'Empire Romain ».
Et
c'est, malheureusement, une réalité physique et spirituelle, car la
religion d'Edom n'a fait que renforcer les liens de l’Égypte
sur les croyants. En voulant « déjudaïser », ils se
sont « égyptianisés » ! Car les us et coutumes de
cette religion ne sont que des vestiges de l’Égypte et de la
Babylone antique.
Beaucoup
accusent de « Judaïser » la Parole, mais cela est
complètement faux. Le salut vient des Juifs et
un croyant authentique est greffé sur Israël contrairement
à sa nature, il doit donc « judaïser » obligatoirement,
car les Juifs deviennent SON peuple.
Par
contre, la véritable accusation qui pourrait être faite est de
ROMANISER la Parole Divine.
Rabbi
Shaoul parle d'un olivier franc avec des branches d’olivier
sauvage greffés sur lui. Mais cela c'est la théorie. Car en vérité
la situation est la suivante : il existe deux oliviers : un
olivier franc, Israël, et un olivier romain, le christianisme. Il ne
suffit plus de venir de l'arbre sauvage, il faut aussi se déraciner
de l'arbre édomique.
L'olivier
édomique
« Ainsi
ils craignaient HaShem, et
ils servaient en même temps leurs dieux d'après la coutume des
nations » (II Mélakhim/Rois
17:33)
Noël
Noël est une fête d'origine romaine donc païenne.
Cette fête s'inscrit dans les saturnales, où l'on célébraient le
« dieu » Saturne. L'Empereur Aurélien fera du 25
décembre le jour de la naissance du Soleil, célébrant par là même
« sol invictus » (le soleil invaincu). Cette « divinité »
prend racine dans le mythe d'Apollon et de Mithra, deux faux dieux.
Les coutumes ? Grands repas, cadeaux échangés,
décorations avec des plantes diverses.
Concernant le « sapin de noël » :
« Une vieille fable babylonienne
parle d’un arbre « toujours vert » qui était sorti de la
souche d’un arbre mort. La souche était le symbole de Nimrod,
mort, le nouvel arbre symbolisait Nimrod revenu à la vie en
la personne de Thammuz ! Chez les druides, le chêne était
sacré, chez les Égyptiens c’était le palmier, et chez
les Romains c’était le sapin que l’on décorait
avec des fruits rouges pendant les saturnales ! » (Walsh,
Curiosities of Popular Customs, p. 242)
«
Answers to Questions (Frederick J. Haskins) : « L’arbre
de Noël provient d’Égypte et son origine date d’une période
bien antérieure à l’ère de Noël »
« Écoutez
la parole qu'HaShem vous adresse, Maison d'Israël [Greffés
compris!] !
Ainsi parle HaShem : N'imitez pas la voie des Nations, Et ne craignez pas les signes du ciel, Parce que les nations les craignent.
Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; La main de l'ouvrier le travaille avec la hache;
On l'embellit avec de l'argent et de l'or, On le fixe avec des clous et des marteaux, Pour qu'il ne branle pas »
(Yirméyahou/Jérémie 10:1-4)
Ainsi parle HaShem : N'imitez pas la voie des Nations, Et ne craignez pas les signes du ciel, Parce que les nations les craignent.
Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; La main de l'ouvrier le travaille avec la hache;
On l'embellit avec de l'argent et de l'or, On le fixe avec des clous et des marteaux, Pour qu'il ne branle pas »
(Yirméyahou/Jérémie 10:1-4)
Marie
et Jésus
En vérité, toutes les statues de « marie et
jésus enfant » ne sont que des personnages
mythologiques. En « christianisant » les
mythologies, les « pères de l'église » n'ont que changé
le nom de cette statue. Cette Marie est en réalité la déesse
Astarté, la reine du ciel.
En Égypte elle représentait Isis et
Horus (le bébé dans les bras)
En Inde Devaki et Krishna
En
Italie Vénus et Jupiter
« Les
enfants ramassent du bois, les pères allument le feu, Et les femmes
pétrissent la pâte, Pour préparer des gâteaux à
la reine du ciel, Et
pour faire des libations à d'autres dieux (la mère et l'enfant pris
pour un dieu incarné), Afin
de m'irriter » (Yirméyahou/Jérémie
7:18)
La
« trinité »
“ On pourrait avoir l’impression qu’en
dernier ressort le dogme de la Trinité est une invention de la fin
du IVe siècle. Dans un certain sens, c’est exact.
[...] La formulation ‘ un Dieu en trois personnes ’ n’a
pas été solidement établie ni sans doute pleinement intégrée à
la vie chrétienne et à sa profession de foi avant la fin
du IVe siècle. ”
— New Catholic Encyclopedia (1967), volume 14,
page 299.
La « trinité » est un concept purement
païen qui se retrouve dans toutes les mythologies païennes :
« Egyptian
Religion »,
de Siegfried
Morenz :
« La
Trinité
était
une préoccupation majeure des théologiens égyptiens »,
« Trois
dieux
étaient combinés pour ne former qu’un seul être auquel on
s’adressait alors au singulier. La
théologie chrétienne subi l’influence spirituelle directe de la
religion égyptienne
»
« les
baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit »
(Matthieu 28:19) → Ce verset
n'existe par dans les manuscrits originaux, il s'agit d'un rajout
ultérieur par les scribes !
« Écoute
Israël, HaShem notre E.lohim, HaShem Est
UN »
(Devarim/Deutéronome
6:4)
Le
dimanche comme « Jour du Seigneur »
Constantin
vénérait le
soleil « sol invictus » le
dimanche, premier
jour
de la semaine. Ce-dernier fut assimilé au « jour du
Seigneur ».
« Le
septième
jour
est le jour du Shabbat d' HaShem
ton E.lohim »
(Shémot/Exode
20:10)
La
« cène »
Le protestantisme est sorti du catholicisme. La
« sainte cène » est un dérivé de l’eucharistie.
Certaines définitions changent, mais le fond reste identique.
Le
rituel mithriaque ressemblait de si près au sacrifice eucharistique
de la messe, que des pères chrétiens accusèrent le démon (!)
d’avoir inventé ces analogies ((L’histoire
de la civilisation,
volume IX, pages 240 et 247, Durant, Editions Rencontre, Lausanne
1963)
« Les disciples firent
ce que Yéshou'a leur avait ordonné, et ils préparèrent Péssah »
(Matityahou/Mathieu 26:19)
« Faites
ceci en mémoire de moi »
(Luc
22:19) → A chaque fois que vous ferez le repas de Péssah
une fois par an, selon l'ordonnance de la Torah,
quand vous mangerez de la matsah
(pain sans levain) et que vous boirez dans la coupe de vin (comme
tous les Juifs jusqu'à aujourd'hui), faites-le en vous souvenant de
l'expiation que procure la mort d'un Juste, à plus forte raison
celle du Mashiah/Messie.
Tout
simplement.
*
Râ,
Horus, Isis, Nimrod, Mithra, Jupiter, Astarté, Marie, Jésus (le
faux)...les noms changent, mais ce sont toujours les mêmes idoles
depuis la chute de l'homme. Rien ne se perd, rien ne se créé, tout
se transforme. Extérieurement, les rites évoluent, les traditions
prennent d'autres configurations, mais ce qui se cache derrière tout
cela ne change pas.
L'antiMessie
Mais
allons encore plus loin ! Beaucoup parlent de l'anti-messie, et
l'une des actions de cet esprit est de « changer
les temps et la loi » (Daniel 8:25).
N'est-ce
pas là l’œuvre de la religion d'Edom ? Les temps ont
été changés : les Fêtes de la Torah sont
remplacées par les fêtes de Babylone, et la loi n'est plus !
Le
christianisme, qui n'a plus rien à voir avec le Judaïsme
Nazaréen de Yéshou'a et des apôtres, est donc, dans son
essence, anti-Messie.
Car
le Messie, c'est la Torah vivante qui mène à la
pratique de la Torah. Or, Edom abolit la Torah,
efface les Fêtes, et impose les croyances de Babylone et de
Rome au monde.
En
vérité, Israël et les greffés véritables, les convertis
authentiques, sont sous la Torah d'Israël et la Grâce du
Messie Yéshou'a. Les chrétiens sont sous la loi de Constantin
et sous l'esclavage de Satân, le Pharaôn de cette
Babylone.
Et
il n'y a qu'une seule chose à dire à ce stade : « sortez
de Babylone mon peuple » ! Car de même que
Moshé redescendit de la montagne et demanda aux Léviim
de tuer tous ceux qui fautaient loin de la Torah, avec le veau
d'or, de même Yéshou'a va revenir très rapidement, et
demander à ses anges de tuer tous ceux qui se sont détournés de la
Torah, comme il est dit :
« Il
exerce la justice parmi les nations: tout est plein de cadavres; Il
brise des têtes sur toute l'étendue du pays »
(Téhilim/Psaume 110:6)
« Le
Ben Adâm enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les
scandales et ceux qui commettent l'iniquité »
(Matityahou/Mathieu 13:41)
Le mot « iniquité »
dans ce verset vient du grec « anomia » qui
signifie littéralement « sans Torah ».
Encore
une fois, nous parlons du christianisme en général, et non des
chrétiens à titres individuels. Pendant 2000 ans, cette vérité a
été occultés aux yeux des chrétiens sincères, et HaShem,
qui est miséricordieux, prend tous les paramètres en compte.
Cependant,
nous arrivons aujourd'hui dans la dernière phase de l'histoire
Adamique, et la vérité se révèle et se répand. Tout ceux qui, en
connaissance de cause, refuseront sciemment de
revenir à cette vérité de la Torah éternelle en Yéshou'a,
seront coupés de l'olivier franc, et périront spirituellement dans
le pays de Babylone.
Nous
arrivons dans peu de temps à la Fête de Péssah.
Que tous les véritables greffés sur Israël puissent la
célébrer selon la date fixée par la Torah d'Israël, et que
cette Fête commémorant la sortie d’Égypte devienne également la
commémoration de leur propre début de sortie d’Égypte !
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